• Viens je t'emmène, dans un monde loin d'ici,

    Remplit d'arbres et de fleurs.

    Un lieu magique où nous sommes les rois.

     

    Viens petit frère, viens avec moi,

    Dans mon palais tout en or,

    Remplit de bijoux et de joyaux.

     

    Viens pour jouer avec moi, près de la rivière,

    Où l'on voit des cerfs boire dans l'eau transparente,

    Penches toi un peu et regardes comme c'est beaux les reflets du soleil sur le fond rocailleux.

     

    Allez viens je t'emmène au pays des rêves,

    Viens jouer avec moi, deviens le roi de tes songes,

    Comme ça tu pourrais m'ordonner de te rejoindre petit frère,

    Au moins on pourra encore ce voir.

    J'espère que ce petit texte vous aura plus,

    Je n'es pas abandonné la nouvelle juste que la partie 6 est longue à écrire.

    Nana


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  • PARTIE 6: Une prise de conscience

    *Origine (Partie 6)Quand je pense qu'en l'espace de quelques mois ma vie à perdu tout son sens. Vous auriez pensé vous, les lecteurs que ça allez ce passer comme ça quand vous avez lus les premières lignes de cette histoire. En tout cas quand, du haut de mes sept ans il m'est arrivé ça, plus rien n'avait de logique pour moi. A croire que j'étais devenu Alice et que j'étais entrée aux Pays Des Merveilles.

    Mais dans ce cas la qu'est ce qui aurait pus m'attirer dans ce monde là ? Si on en suit l'histoire d'Alice ce serrait le lapin que j'aurais suivis. Mais cet animal peut être interprété de plusieurs manières. Tous d'abord, on pourrait représenter le lapin comme la clef des réponses que je cherche, la vérité sur ce qui ce passe pour l'expliquer plus simplement. Ou on pourrait tout aussi comprendre que le lapin ce trouve être Vincent c'était la personne qui pouvait m'emmenée trouver mes réponses, ces réponses qui ce trouve dans ce Pays, Andor.

    Même ça j'aurais trouvé plus logique. Je pensai que j'étais malade et que j'avais besoins de traitement. Avec mes parents qui me voyaient comme une folle ce n'était pas très compliqué de le penser. Etant donné que Victoria avait décidé de me donner les réponses à mes questions facilement j'avais un peu du mal à la croire.

    - Pourquoi es-tu si froide avec moi ?

    J'étais là ne sachant quoi faire. Je ne pouvais pas la croire. Où était la logique dans tout ça ? Moi quelqu'un de spéciale ? J'avais pourtant l'impression d'être un monstre. Je n'arrivais pas à me reconnaître.

    - Je ne peux pas vous croire.

    Vincent et Victoria me regardaient avec compassion.

    - Je ne peux rien faire pour ça. Lui déclara-t-elle.

    Il croisa les bras et me regarda droit dans les yeux.

    - Qu'es ce que je dois faire pour te prouver que c'est la vérité ?

    Face à cette réaction je ne su quoi dire. Tout ce qu'ils venaient de me dire était impossible. Comment je pouvais être la personne qu'ils décrivent ? Je sais que je suis bizarre, que je fais des choses que je ne comprends pas et que Vincent est comme moi, mais tout ça ne peut être réel, je ne peux pas être spéciale, je ne veux PAS être spéciale.

    Je me leva du lit dont j'étais encore assise et partis en courant de la chambre. Je ne savais pas ou j'allai mais je sais que je voulais qu'une chose, je voulais sortir de cet endroit. J'étais effrayé, ce lieu était un véritable labyrinthe. Tous les couloirs étaient identiques, fait d'un bois sombre. C'était peut-être mon imagination mais plus j’avançais moins il y avait de lumière. J'aurais pus avoir l'impression de tourner en rond mais le fait de ne plus entendre leur voix me confirmait le contraire. J'avais l'impression qu'une éternité était passé, une fois arrivé dehors je fus subjugué par le paysage.

    Je me trouvais hors d'un châteaux entouré d'une grande foret, un peu plus loin ce trouvait un petit village qui paraissait pas comme les autres villages. Ne sachant où allez j'ai décidé de me diriger vers celui-ci. De l'endroit où je me trouvais il devait être à environ dix minutes. Plus j’avançais vers lui plus j'étais émerveillée.

    Ce village ce trouvait être un village ancien, comme avant. Il n'y avait pas de technologie ni rien. Me promenant dans les rues je croisait des personnes habillés de manière assez particulière. Pour les hommes, ils portaient des pantalons en tissue et non des jeans, des bretelles et des chemises, pour les femmes des robes assez légère. Pourtant, certaines personnes portés tout de même des tenus de maintenant, tee shirt simple et pantalon pour les garçons et les filles en jupe et tee shirt. Je ne comprenais pas, ou avais-je bien pu tomber ?

    Je venais d'arriver à la place principal du village, il y avait une énorme fontaine en pierre d'un gris clair, l'eau cristalline luisait sur une boule en marbre au dessus de la fontaine pour tomber dans un bassin remplit de mousse. Autour d'elle, ce trouverait une roseraie aux couleurs blanches.

    - « Qui peut donc bien être cette drôle de fille ? »  Questionna une villageoise à son ami.

    - « Qui est-ce ? » Demanda un boulanger en sortant le pain pour le mettre sur son stand.

    - « Oh ! Mais qu'est-ce donc ? » Déclara une vielle femme nourrissant ses chats.

    - « Je l'ai vu arriver du château, vous pensez qu'elle vient de l'autre monde ? » Affirma un autre villageois.

    - « Voyons ne soit pas ridicule ! Allons tous d'abord lui posé la question. » Répliqua un autre.

    Face à cette affirmation les villageois ce dirigèrent vers moi et ce mirent à me poser mile et une questions.

    - « Comment t'appelles-tu ? » Me demanda la vielle femme.

    - « D'où viens-tu ? »

    - « Quelle age as-tu ? »

    - « Viens-tu du château ? »

    - « Ne soit pas muette, dis nous tout ! »

    - « Taisez-vous donc ! » criez-je apeuré.

    J'avais à nouveau du mal à respirait. Je glissa sur le sol en les priants de me laisser tranquille.

    - « Mais n'es pas peur, nous n'allons rien te faire. » Déclara le boulanger.

    - « J'ai dis : Laissez moi tranquille ! »

    Quand ces mots furent sortit de ma bouche, une boule de feux s’échappa de mon corps et alla s'exploser sur le mur d'une maison laissant une trace noir sur celui ci.
    Voyant ce que je venais de faire tous les villageois étaient effrayés. Je les entendais murmurer des « oh mon dieu », « je n'es jamais vus ça ». J'étais sûr qu'ils allaient eux aussi avoir peur de moi, ne plus m'approcher, croire que je n'était qu'un monstre.

    A ce moment là je me mis à pleurer toutes les larmes de mon corps et me mit en boule sur moi même. J'entendis un bourdonnement autour de moi, ma vus devenait flou. Je voulais rentrer chez moi et que tout le monde me laisse tranquille, que je redevienne une fille totalement normal et que tout ça ne soit jamais arrivé.

    - « Chatrine, ne fait pas ça ! » entendis-je à travers le bourdonnement. « Allez, ouvre les yeux CHATRINE ! »

    Je fis ce que la voix me dit et vus des flammes tout autours de moi faisant comme un mur près à exploser. Je n'en croyais pas mes yeux ce n'était pas possible que ce soit moi qui ai fait ça.

    - « Chatrine, calme toi et regarde moi. » Vincent s'approcha de moi lentement « Tout va bien... »

    Je me sentais comme hypnotisé par sa voix à la fois douce et calme.

    - « Prend une grande respiration et dit toi que tous vas bien, d'accord ? »

    Je fis ce qui me dit et lentement les flammes commencèrent à s'estomper montrant une place quasiment détruite. Le sol était devenu noir et de la cendre volé tout autour de nous. Les bâtiments étaient complètement brûlés d'une face. Seule la fontaine était intacte.

    Vincent s'approcha de moi et me pris par les épaules en me disant ses mots que j'attendais plus que tout au monde.

    - « Je vais te ramener à la maison. »


    Voilà, désolée de vous avoir fait attendre aussi longtemps mais voilà enfin la suite tant attendu (enfin je l'espère) d'Origine !

    J'espère qu'elle vous plaira

    Nana

     


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  • PARTIE 7: Une vérité fatal

    *Origine  (Partie 7)Bizarrement, après qu'il m'ai dit ces mots je me suis mise à pleurer toutes les larmes de mon corps. On pourrait dire que c'est à cause du choc, que j'étais déboussolé ou simplement fatigué, pour une enfant de sept ans c'est totalement envisageable, après tout j'étais bien dans tout ces états, pourtant ce n'était pas vraiment pour ça que je pleurais je pense, plus comme si j'étais triste de partir. Une fois cette décision prise, Vincent me ramena au château.

    Nous n'avons pas croisé Victoria à l’intérieur, ce château paraissait abandonné. Pendant tout le trajet Vincent ne m'avait pas adressé la parole. Plus tard il m'a confié qu'à ce moment là il était triste, j'étais la première personne lui ressemblant qu'il eu connu.

    Une fois de retour dans sa chambre il prit quelques affaires qui lui appartenaient puis alla récupéré quelque chose sur son bureau et me le tendit.

    - Si un jour tu veux revenir vers nous tu le pourras, je ne t'ai pas cherché pendant des mois pour rien...

    J'ai pris enveloppe sans dire un mot. A ce moment là je n'ai pas su quoi dire. Je savais que je n'avais pas envie de revenir, surtout pas.

    - Ca veut dire qu'on ne va plus ce voir à l'école ? C'est la seule chose que j'ai dis, la seule chose qui m'inquiétait vraiment.

    Je ne voulais pas recommencer comme avant, quand les autres élèves avaient peur de moi et que je me retrouvé seule, seule devant toute une école. Quand il est arrivé tous a changé, je n'étais plus seule on étais deux, deux contre cet enfer.

    - Ne t'inquiète pas, je serrai toujours là pour toi.

    Je me sentis soulagée. Je n'allai pas être seule face à tous ça. Une fois avoir pris ses affaires Vincent me tendit la main et je la prit. En moins d'une seconde je me retrouvais devant chez moi. Il devait être environ 17:20h ou plus, mais pas trop tard ce qui veut dire que je n'allais pas me faire gronder par mes parents, c'était déjà ça. Je me tourna vers Vincent et lui fis un grand sourire.

    - Merci de m'avoir ramené, à demain !

    Il me sourit en retour et confirma ce que j'avais dis. Une fois rentré chez moi je fis mes devoirs puis partis me coucher. Mais pourtant le lendemain, à l'école il n'est pas venu. Il n'est plus jamais revenu...


    J'espère que cette partie vous aura plus et que vous avez hâte de lire la suite :)

    Nana


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  • - "Quand le soleil se couche un voile noir se pose sur la terre comme une couverture sur un lit. On ferme les yeux, lentement comme si le marchand de sable était passé. Le monde est silencieux, les animaux dorment déjà, il ne reste que toi chérie."

    - "Mais maman, le marchand de sable n'est pas passé pour moi."

    - "Je vais donc embrassés tes deux paupières pour déposer le sable dans tes yeux."

    - "Mais maman, ça doit faire mal du sable dans les yeux."

    - "Des nuages alors."

    - "Oh oui, des nuages roses hein?"

    - "Si tu veux chérie. Il faut que tu dormes maintenant demain tu as une longue journée."

    - "Pourquoi maman?"

    - "On fête ton anniversaire chérie."


    Voilà petit texte tous mimi j'espère qu'il vous plait.

    Nana


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