• INTRODUCTION

    Origine (introduction+chapitre 1)Nous revoilà au commencement, tout démarra à l'âge de mes 7 ans. L'âge de la raison dit-on.

    -"Chérie réveille toi ma puce, il faut aller à l'école."

    J'ouvris un œil pour voir le visage de ma mère penchait au-dessus du lit puis, je le refermais en m'enroulant plus profondément dans ma couette.

    -"Chérie..." soupira ma mère.

    J'ouvris à nouveau un œil à l’affût de toute trace d'agacement sur son visage mais non, c'était juste le regard de ma mère avec ses yeux bleus et ses cheveux bruns ondulaient. Ma mère et moi ne nous ressemblons pas beaucoup, pas le même sourire, la seule chose que j'ai hérité d'elle c'est ses cheveux bruns épais et ondulés.

    -"Je ne veux pas y aller les autres vont encore être méchants avec moi."

    Je me tournais et me mis en boule sous la couette. À mon école les garçons étaient méchants avec moi, ils m’embêtaient, me tiraient les cheveux prenaient mes affaires et ne voulaient pas me les rendre.

    -"La maîtresse a dit qu'elle allait les punir."

    Comme ci les punirent allait changer les choses... pensais-je.

    -"Allez Chatrine debout" Déclara ma mère en tirant ma couette.

    J'eu froid, la lumière m'éblouis, je cache mon visage mais je sais pertinemment que ça ne va rien changer. Je serai obligée d'y aller. Et c'est ce que j'ai fait, soutenus par le regard sévère de mes parents. Mais jamais je n'aurais pensé que ce jour allait être le bouleversement de mon enfance, celui de ma vie.

    PARTIE 1: Au commencement

    Origine (introduction+chapitre 1)Vous vous rappelez quand vous étiez en CE1, quand les garçons ne jouaient qu'aux carte, au ballon et que les filles elles jouaient aux poupée, à l'élastique, à la corde à sauter à la cours de récré? Moi je m'en rappelle bien, ça me hante encore, si j'étais quelqu'un de normale, rien de tout ce que je vais vous raconter ne ce serais passé. Nous sommes le 15 mai 2007 dans l'école primaire d'un petit village très ensoleillé. Il fait chaud en ce mois de mai. L'heure de la récrée vient de sonner. Les élèves sortent des classes en rang. C'est la joie, tout le monde cours vers ses jeux préférés. Sauf moi, je préfère regardé. Je regarde mes camarades jouaient. Ils crient, courent, rigolent.

    -"Eh regardait la cafteuse est là."

    Au non il manquait plus que lui... pensais-je. Je tourne la tête vers Andy et sa bande de crétins.

    -"Tu me veux quoi?"

    Il se mit devant moi et me regarda de haut. De là où je me trouvais on aurait dit un élève de collège près à me voler mes bonbons ou mes jouets.

    -"Alors comme ça tu veux que Andy ce fasse punir?"

    -"Où... ça c'est pas bien."

    Tout le monde ce tourna pour regarder le petit Tony qui venait de dire ça. Il n'aurait pas pus trouvé plus débiloss que lui. 

    -"Euh... Bon, il se retourne pour me regarder droit dans les yeux, tu te prends pour qui gros bébé."

    Il me pousse en arrière et j'ai failli m'étaler sur le sol.

    -"Répond."

    Il le refait plus violemment.

    -"Répond je te dis!"

    Il me fait tomber au sol. Le choc me coupe la respiration et la tout devient trouble. Je sais qu'il s'est passé quelque chose sauf que je ne me rappelle pas bien. Je n'ai jamais voulus me rappeler. Il y a eu un immense froid en moi, du vent beaucoup de vent, des gens qui criaient mon prénom et qui se précipitaient vers Andy. Je levais la tête et je vis tous mes camarades me regardaient avec frayeur, ils reculaient. C'était moi qui était au sol et personne ne voulaient m'aider. Je ne comprenais pas, puis au moment où j'ai tourné la tête j'ai compris.


    J'espère que mon article vous aura plus, n'hésitez pas à commenter! On se retrouvera surement pour la suite. :)

    Nana


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  • PARTIE 2: Tout feux tout flamme

    *Origine (Chapitre 2+ Chapitre 3)Vous est-il déjà arrivé, que personne ne vous croit?
    Que vous dîtes simplement la vérité et qu'on vous traite de menteur ou de menteuse?
    En tout cas moi oui et à ce genre de moment on n'a beau crier,
    taper des pieds, pleurer personne ne voudra nous croire.

    J'étais devant le directeur de mon école, mes parents, les policiers, les parents d'Andy et lui.
    Quand je le regarde, avec ses bandages sur le visage, j'avais envie de pleurer.
    Tout le monde pense que c'est moi mais c'est impossible je n'ai pas pus faire ça. Comment j'aurais pu ?
    Il est complètement défiguré, le visage brûlé au troisième degrés, il sera défiguré à vie alors qu'il n'a que huit ans.

    -"Où se trouve le briquet ? Comment as-tu pu causer autant de dégâts?" me demanda l'agent.

    -"Je n'avais rien sur moi." Répétais-je pour la dixième fois.

    -"Ceci est un véritable scandale !" le père d'Andy c'était levé de sa chaise et avait tapé du poing sur la table ensuite il s'est tourné vers moi en me regardant droit dans les yeux. "Cette enfant est folle, c'est un monstre, il faut l'enfermée dans un hôpital psychiatrique ! Elle a failli rendre aveugle mon fils !"

    -"Je vous pris de vous rasseoir Monsieur." Déclara le directeur.

    Je fermais les yeux pour me retenir de pleurer. Moi, un monstre ? Combien de fois vais-je vous répétez que je n'ai rien fait ?
    Une fois le père d'Andy assit le directeur lui reproche de m'avoir dit ça car je n'étais qu'une enfant.
    Il leva les yeux puis l'attention ce retrouva à nouveau sur moi. Je détestais ça.

    -"Alors Chatrine, où est-il ?"

    Les larmes coulaient sur mes joues. J'en avais marre, j'avais beau dire la vérité personne ne me croyait.

    -"Je vous ai dit que j'en avais pas ! Pourquoi vous ne me croyez pas ? J'avais rien sur moi !"

    Je me suis mise à pleurer toutes les larmes de mon corps. Je me cachais à travers mes vêtements la tête enfouis sous mon bras.
    Les inspecteurs s'étaient mis d'un commun accord que l’interrogatoire était terminé, sous les hurlements au scandale du père mécontent.

    Après ceci personne ne voulait m'approcher. J'ai été exclu une semaine pour que ce qui était arrivé à Andy.
    On m'avait surnommée "La Bizarre". Comme si tous le monde l'aimé... Les enfants me fuyaient et les adultes me lançaient des regards sévères.

    Je me retrouvais seule, rejeté de tous dans mon coin sombre. Je m'étais renfermé sur moi-même au fil des semaines.

    Puis au bout d'un mois cela a recommencé, j'ai mis feu à une partie de ma chambre. J'avais peur pourquoi ça arrivait à moi ?
    J'étais un véritable monstre ! Après ce second accident, mes parents se sont mis à ne plus me croire,
    ils pensaient que j'avais un problème. Je les entendaient souvent se disputer à mon sujet.
    Mon père voulait m’emmener dans un hôpital psychiatrique et ma mère n'était pas d'accord avec lui.

    Je n'avais plus personne à qui parler, à qui faire confiance, j'étais seule.
    La fille bizarre que personne ne voulait approcher. Jusqu'à ce jour où Lui arriva.

    PARTIE 3: Le début de tout

    *Origine (Chapitre 2+ Chapitre 3)C'était un jour comme j'avais l'habitude depuis maintenant deux mois, j'arrivais à l'école et tout le monde reculaient à mon passage comme si j'avais la galle. Ça me mettais un pique au cœur mais je laissais rien paraître. Ma journée se déroule comme d'habitude, personne ne m’interrogeait, on avançait ou reculait les bureaux pour être le plus loin possible de moi.


    Puis il apparut, un petit garçon brun aux yeux bleus. Il portait un tee shirt deux fois trop grand pour lui et un jean noir. Il ne ressemblait pas du tous aux autres garçons, il y avait quelque chose dans sa façon de se déplacer, de regarder les adultes et de regarder les autres élèves.

    -"Bonjour madame, je suis bien en CE1 B ?" Demanda-t-il tout sourire.

    Ceci eu tous l'effet escompté sur la maîtresse qui lui rendit sont sourire.

    -"Oh tu dois être le petit Vincent! Monsieur le directeur je pense que vous pouvez nous laisser dès a présent."

    Je n'avais même pas remarqué le directeur qui venait de faire éruption dans la salle de classe.
    Il ferma la porte puis la maîtresse retourna son attention sur ce nouvel élève.

    -"Choisi où tu veux te mètre." Intima-t-elle.

    Il restait que trois places de libres dont l'une à côter de moi... Logique étant donné que tout le monde me fuyais.
    Pourtant, même si les autres lui montraient la place à côté de lui, il avait choisi la mienne, isolait de tout le monde. 

    A ce moment je me suis demandée s'il n'était pas un peu idiot. Il voulait lui aussi se faire rejeté de tous ou quoi ? 

    -"Salut, je m'appelle Vincent Crouze et toi ?"

    Il me tendit la main. J'hésitais, qu'est-ce que cela allez signifié?
    Tout le monde nous fixaient du regard. J'ai choisi de lui rendre sa poignée de main.

    -"Moi je m'appelle Chatrine Sant."

    Après ceci j'ai eu l'impression que plus rien ne serais comme avant.


    J'espère que ses deux chapitres vous aurons plus, à une prochaine fois pour la suite !

    Nana


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  • PARTIE 4: Feu et Glace

    *Origine (Chapitre 4+ Chapitre 5)Au fil des jours Vincent essayait de discuter avec moi me demandant des choses sur ma vie, si j'ai de la famille d'où je viens ect...

    Ça me faisait bizarre que quelqu'un me parle après deux mois. Mais dans un sens je me disais que ce serais mieux qu'il ne me parle pas, pour lui. Tout le monde commençaient déjà à le regarder de travers.

    -"Je peux te poser une question?" M'a-t-il demandé un jour.

    Je l'avais regardé pendant quelques secondes me demandant ce que ça pouvait être.

    -"Bien sûr." Lui avais-je répondu.

    -"Pourquoi les autres t'évitent?"

    Je me suis à nouveau focalisé sur mes cours sans lui répondre. Je n'y arrivais pas. La maîtresse venait de commencer une nouvelle leçon. En fait je m'en foutais du cours, c'est juste qu'il était impossible pour moi d'affronter ses yeux transperçant que je sentais à coter de moi.

    -"Chatrine."

    Un goût amer est venue dans ma bouche avant que je lui réponde.

    -"Ils ont peur de moi."

    Après que j'eu dis cette phrase il ne me posa aucune autre question.

    Les jours passèrent lentement mais, au fur et à mesure je commençais à m'ouvrir à lui. C'était le seul à me parler et ça me faisait encore bizarre.

    Un jour je lui avais demandé pourquoi il m'avait "choisi" dans le calme. Il m'avait regardé et souris.

    -"Tu avais l'air différente des autres." m'avait-il répondu.

    A force, je m'étais habituée à sa compagnie, d'arriver à l'école et de le  voir m'attendre devant le portail à rigoler avec lui en cours comme à la récrée, que pour moi c'était devenu naturelle de le considérer comme mon ami. J'avais quasiment complètement oublié pour quelle raison les autres me rejetais. Jusqu'au jour où ça c'est reproduit.

    Je me retrouvai à nouveau à l'école. Lors d'un cours; la récrée aller sonné quand j'ai commencé à me sentir bizarre. Ma vue devenait flous, j'avais du mal à me concentrer.

    -"Ça va ?" M'avait chuchoté Vincent.

    J'avais tourné la tête vers lui puis, je regardé à nouveau ma feuille.

    -"Concentre toi."

    -"Quoi ?"

    -"Concentre toi." M'a-t-il répété.

    La sonnerie a retenti. Il me prit par le bras et nous sommes vite retourné dehors.

    -"Sur quoi?" Avais-je demandé.

    Il s'est tourné vers moi et m'aida à m’asseoir contre l'un des murs de la cours.

    -"Ne le fais pas sortir maintenant."

    Je n'y comprenais rien. Je ne savais pas quoi faire. Je secouais la tête ne voulant croire que ça recommencait. J'étais en larme. 

    -"Chatrine regarde moi." Me demanda-t-il.

    C'est ce que je fis et ce que je vis me mit un choc. C'était Vincent mais, il y avait quelque chose en plus, des cristaux de glace c'était formé sur ses cils pour disparaître comme c'était apparu.

    -"Tu n'as pas à avoir peur. Je suis comme toi."

    Ma vue finit par devenir noire et je tombai dans les pommes.

    PARTIE 5: Révélation

    *Origine (Chapitre 4+ Chapitre 5)Vous est-il arrivé un jour de vous demander si vos parents vous cachez quelques choses? D'avoir une zone d'ombre dans votre famille ? Quelque chose que personne n'aurait voulus que vous sachiez et bien moi oui et ce n'est que le début.

    Je commençais à retrouver mes esprits. J'étais dans un endroit que je ne connaissais pas. J'avais peur, très peur. Je m'assis et remarqué que j'étais sur un lit collé à un angle de la pièce. En voyant ça je me rapprochai le plus possible de celui-ci.

    -"N'es pas peur, tu es en sécurité ici."

    Je tournais la tête vers la voix qui m'avait parlé. J'ai eu du mal à reconnaître Vincent. J'étais désorienté.

    -"Où sommes-nous?" Avais-je demandé.

    Vincent m'avait regardé un moment avant de me répondre:

    -"Dans ma chambre."

    Je tournais la tête vers le reste de cette pièce et vu que du sol au plafond tout était en chêne, de ton plus clair pour les murs et plus foncé pour le sol et les meubles, en face du lit se trouvait un large bureau avec des étagères quasiment vide. Sur l'une d'elle se trouvait deux trois livres d'enseignement au combat, un livre sur les gardiens et un autre sur Andor. Je ne comprenais pas pourquoi il avait ça dans sa chambre. Juste en face du lit se trouvait une grande armoire en chêne aussi. Et il y avait aussi un tapis rouge rectangulaire au milieu de la pièce qui rajoutait de la couleur.

    -"Tu vas bien?" M'a-t-il demandé.

    J'avais très mal à la tête et je ne me rappelai quasiment pas ce qui s'était passé la veille.
    Je ne me souvenais que du fait que je m'étais sentis mal à l'école.

    -"Je ne sais pas trop, j'ai mal à la tête." Avais-je répondu.

    Il s'assoit sur le lit à coter de moi et tendit une main vers mon front pour me prendre la température.

    -"Ta température est revenu à la normale. Je vais quand même faire venir Nicole."

    Je fronçais le sourcils en me demandant qui était Nicole. Sa mère ? Sa tante ? Sa grand mère ? Ou peut être sa grande sœur... Il se trouvait que Nicole était simplement une infirmière. Elle me pris le pouls puis d'autre teste dont je ne connaissais le nom. Son diagnostic montra que j'étais en bonne santé et qu'on ne devait pas s'inquiéter. Vincent la remercia et lui demanda de faire venir une autre femme ici dont je n'avais entendu le nom. 

    J'étais perdu. Qu'est-ce qui pouvait bien ce passé ? Comment ce faisait-il qu'une infirmière se trouve ici. Où suis-je ?

    -"Chatrine tu te souviens de quelque chose de ce qu'il s'est passé il y a quelques heures ?" Me questionna-t-il.

    -"Attends une minute... Quelques heures ?! J'étais resté inconsciente pendant combien de temps? Quelle heure est-il ?
       Mes parents doivent être fous d’inquiétude."

    Il me pris par les épaules et me fit le regardait droit dans les yeux.

    -"Ne t'inquiète pas pour tout ça d'accord? On te remmènera chez toi et on aura une discussion avec ta famille.
       Pour l'instant il faut que tu restes calme et que tu te détendes sinon ça va recommencé."

    Recommencé ? Qu'est-ce qui va recommencer ? Je fermais les yeux et essayais de me rappeler en vain.
    Pourquoi je m'étais sentis mal déjà ? ... Chatrine, fait un effort!

    Quelqu'un toqua à la porte pendant que j'essayais encore de me rappelais, Vincent ce leva et alla ouvrir. 

    Je me rappelle la voix de Vincent me demandant de rester concentré et de me calmer,
    ... puis, quand je suis sortis... et enfin, de ses yeux !

    -"Bonjour Chatrine je me présente je suis Victoria."

    Je levais la tête et vis une femme d'environ trente ans, avec des cheveux ondulés châtains et des yeux verts.

    -"Ravis de vous connaître;" Avais-je répondu.

    Je tournais la tête vers Vincent et entendis à nouveau dans ma tête cette phrase qui m'avait tant chamboulé "je suis comme toi.". J'avais envie de pleurer, comment ? Je ne comprenais pas. Qu'est-ce qui clochait chez nous ? Pourquoi n'étions nous pas comme les autres enfants ? Pourtant derrière toutes ces questions je ressentais un sentiment de joie: Je n'étais pas toute seule.

    -"Où suis-je ?" Demandais-je en tournant à nouveau la tête vers Victoria. "Qu'est-ce qui m'arrive? Et qui êtes-vous exactement?" 

    Je vis un petit sourire sur le visage rosé de cette femme.

    -"Ma chère Chatrine, pour l'instant je ne peux répondre que à une seule de tes questions. Tu te trouves ici sur mon domaine..."

    Elle tourna la tête vers Vincent avant de reporter son intention sur moi.

    -"... À Andor."


    J'espère que ces deux chapitres vous auront plus. N'hésitez pas à commenter. Et j'espère vous voir pour la suite de l'histoire.

    Nana.

     


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  • PARTIE 6: Une prise de conscience

    *Origine (Partie 6)Quand je pense qu'en l'espace de quelques mois ma vie à perdu tout son sens. Vous auriez pensé vous, les lecteurs que ça allez ce passer comme ça quand vous avez lus les premières lignes de cette histoire. En tout cas quand, du haut de mes sept ans il m'est arrivé ça, plus rien n'avait de logique pour moi. A croire que j'étais devenu Alice et que j'étais entrée aux Pays Des Merveilles.

    Mais dans ce cas la qu'est ce qui aurait pus m'attirer dans ce monde là ? Si on en suit l'histoire d'Alice ce serrait le lapin que j'aurais suivis. Mais cet animal peut être interprété de plusieurs manières. Tous d'abord, on pourrait représenter le lapin comme la clef des réponses que je cherche, la vérité sur ce qui ce passe pour l'expliquer plus simplement. Ou on pourrait tout aussi comprendre que le lapin ce trouve être Vincent c'était la personne qui pouvait m'emmenée trouver mes réponses, ces réponses qui ce trouve dans ce Pays, Andor.

    Même ça j'aurais trouvé plus logique. Je pensai que j'étais malade et que j'avais besoins de traitement. Avec mes parents qui me voyaient comme une folle ce n'était pas très compliqué de le penser. Etant donné que Victoria avait décidé de me donner les réponses à mes questions facilement j'avais un peu du mal à la croire.

    - Pourquoi es-tu si froide avec moi ?

    J'étais là ne sachant quoi faire. Je ne pouvais pas la croire. Où était la logique dans tout ça ? Moi quelqu'un de spéciale ? J'avais pourtant l'impression d'être un monstre. Je n'arrivais pas à me reconnaître.

    - Je ne peux pas vous croire.

    Vincent et Victoria me regardaient avec compassion.

    - Je ne peux rien faire pour ça. Lui déclara-t-elle.

    Il croisa les bras et me regarda droit dans les yeux.

    - Qu'es ce que je dois faire pour te prouver que c'est la vérité ?

    Face à cette réaction je ne su quoi dire. Tout ce qu'ils venaient de me dire était impossible. Comment je pouvais être la personne qu'ils décrivent ? Je sais que je suis bizarre, que je fais des choses que je ne comprends pas et que Vincent est comme moi, mais tout ça ne peut être réel, je ne peux pas être spéciale, je ne veux PAS être spéciale.

    Je me leva du lit dont j'étais encore assise et partis en courant de la chambre. Je ne savais pas ou j'allai mais je sais que je voulais qu'une chose, je voulais sortir de cet endroit. J'étais effrayé, ce lieu était un véritable labyrinthe. Tous les couloirs étaient identiques, fait d'un bois sombre. C'était peut-être mon imagination mais plus j’avançais moins il y avait de lumière. J'aurais pus avoir l'impression de tourner en rond mais le fait de ne plus entendre leur voix me confirmait le contraire. J'avais l'impression qu'une éternité était passé, une fois arrivé dehors je fus subjugué par le paysage.

    Je me trouvais hors d'un châteaux entouré d'une grande foret, un peu plus loin ce trouvait un petit village qui paraissait pas comme les autres villages. Ne sachant où allez j'ai décidé de me diriger vers celui-ci. De l'endroit où je me trouvais il devait être à environ dix minutes. Plus j’avançais vers lui plus j'étais émerveillée.

    Ce village ce trouvait être un village ancien, comme avant. Il n'y avait pas de technologie ni rien. Me promenant dans les rues je croisait des personnes habillés de manière assez particulière. Pour les hommes, ils portaient des pantalons en tissue et non des jeans, des bretelles et des chemises, pour les femmes des robes assez légère. Pourtant, certaines personnes portés tout de même des tenus de maintenant, tee shirt simple et pantalon pour les garçons et les filles en jupe et tee shirt. Je ne comprenais pas, ou avais-je bien pu tomber ?

    Je venais d'arriver à la place principal du village, il y avait une énorme fontaine en pierre d'un gris clair, l'eau cristalline luisait sur une boule en marbre au dessus de la fontaine pour tomber dans un bassin remplit de mousse. Autour d'elle, ce trouverait une roseraie aux couleurs blanches.

    - « Qui peut donc bien être cette drôle de fille ? »  Questionna une villageoise à son ami.

    - « Qui est-ce ? » Demanda un boulanger en sortant le pain pour le mettre sur son stand.

    - « Oh ! Mais qu'est-ce donc ? » Déclara une vielle femme nourrissant ses chats.

    - « Je l'ai vu arriver du château, vous pensez qu'elle vient de l'autre monde ? » Affirma un autre villageois.

    - « Voyons ne soit pas ridicule ! Allons tous d'abord lui posé la question. » Répliqua un autre.

    Face à cette affirmation les villageois ce dirigèrent vers moi et ce mirent à me poser mile et une questions.

    - « Comment t'appelles-tu ? » Me demanda la vielle femme.

    - « D'où viens-tu ? »

    - « Quelle age as-tu ? »

    - « Viens-tu du château ? »

    - « Ne soit pas muette, dis nous tout ! »

    - « Taisez-vous donc ! » criez-je apeuré.

    J'avais à nouveau du mal à respirait. Je glissa sur le sol en les priants de me laisser tranquille.

    - « Mais n'es pas peur, nous n'allons rien te faire. » Déclara le boulanger.

    - « J'ai dis : Laissez moi tranquille ! »

    Quand ces mots furent sortit de ma bouche, une boule de feux s’échappa de mon corps et alla s'exploser sur le mur d'une maison laissant une trace noir sur celui ci.
    Voyant ce que je venais de faire tous les villageois étaient effrayés. Je les entendais murmurer des « oh mon dieu », « je n'es jamais vus ça ». J'étais sûr qu'ils allaient eux aussi avoir peur de moi, ne plus m'approcher, croire que je n'était qu'un monstre.

    A ce moment là je me mis à pleurer toutes les larmes de mon corps et me mit en boule sur moi même. J'entendis un bourdonnement autour de moi, ma vus devenait flou. Je voulais rentrer chez moi et que tout le monde me laisse tranquille, que je redevienne une fille totalement normal et que tout ça ne soit jamais arrivé.

    - « Chatrine, ne fait pas ça ! » entendis-je à travers le bourdonnement. « Allez, ouvre les yeux CHATRINE ! »

    Je fis ce que la voix me dit et vus des flammes tout autours de moi faisant comme un mur près à exploser. Je n'en croyais pas mes yeux ce n'était pas possible que ce soit moi qui ai fait ça.

    - « Chatrine, calme toi et regarde moi. » Vincent s'approcha de moi lentement « Tout va bien... »

    Je me sentais comme hypnotisé par sa voix à la fois douce et calme.

    - « Prend une grande respiration et dit toi que tous vas bien, d'accord ? »

    Je fis ce qui me dit et lentement les flammes commencèrent à s'estomper montrant une place quasiment détruite. Le sol était devenu noir et de la cendre volé tout autour de nous. Les bâtiments étaient complètement brûlés d'une face. Seule la fontaine était intacte.

    Vincent s'approcha de moi et me pris par les épaules en me disant ses mots que j'attendais plus que tout au monde.

    - « Je vais te ramener à la maison. »


    Voilà, désolée de vous avoir fait attendre aussi longtemps mais voilà enfin la suite tant attendu (enfin je l'espère) d'Origine !

    J'espère qu'elle vous plaira

    Nana

     


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  • PARTIE 7: Une vérité fatal

    *Origine  (Partie 7)Bizarrement, après qu'il m'ai dit ces mots je me suis mise à pleurer toutes les larmes de mon corps. On pourrait dire que c'est à cause du choc, que j'étais déboussolé ou simplement fatigué, pour une enfant de sept ans c'est totalement envisageable, après tout j'étais bien dans tout ces états, pourtant ce n'était pas vraiment pour ça que je pleurais je pense, plus comme si j'étais triste de partir. Une fois cette décision prise, Vincent me ramena au château.

    Nous n'avons pas croisé Victoria à l’intérieur, ce château paraissait abandonné. Pendant tout le trajet Vincent ne m'avait pas adressé la parole. Plus tard il m'a confié qu'à ce moment là il était triste, j'étais la première personne lui ressemblant qu'il eu connu.

    Une fois de retour dans sa chambre il prit quelques affaires qui lui appartenaient puis alla récupéré quelque chose sur son bureau et me le tendit.

    - Si un jour tu veux revenir vers nous tu le pourras, je ne t'ai pas cherché pendant des mois pour rien...

    J'ai pris enveloppe sans dire un mot. A ce moment là je n'ai pas su quoi dire. Je savais que je n'avais pas envie de revenir, surtout pas.

    - Ca veut dire qu'on ne va plus ce voir à l'école ? C'est la seule chose que j'ai dis, la seule chose qui m'inquiétait vraiment.

    Je ne voulais pas recommencer comme avant, quand les autres élèves avaient peur de moi et que je me retrouvé seule, seule devant toute une école. Quand il est arrivé tous a changé, je n'étais plus seule on étais deux, deux contre cet enfer.

    - Ne t'inquiète pas, je serrai toujours là pour toi.

    Je me sentis soulagée. Je n'allai pas être seule face à tous ça. Une fois avoir pris ses affaires Vincent me tendit la main et je la prit. En moins d'une seconde je me retrouvais devant chez moi. Il devait être environ 17:20h ou plus, mais pas trop tard ce qui veut dire que je n'allais pas me faire gronder par mes parents, c'était déjà ça. Je me tourna vers Vincent et lui fis un grand sourire.

    - Merci de m'avoir ramené, à demain !

    Il me sourit en retour et confirma ce que j'avais dis. Une fois rentré chez moi je fis mes devoirs puis partis me coucher. Mais pourtant le lendemain, à l'école il n'est pas venu. Il n'est plus jamais revenu...


    J'espère que cette partie vous aura plus et que vous avez hâte de lire la suite :)

    Nana


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  • PARTIE 8:

    *Origine (Partie 8)J'avais beau avoir 7 ans, je me suis sentis trahi, il m'avait mentis. Ce jours là, j'ai pleuré toute les larmes de mon corps. Je n'étais pas prête à affronter le monde toute seule. Ce jour là, mes parents sont venus me chercher à l'école et je n'y suis pas allez. Peut être un peu abusif comme comportement pour une jeune fille qui était triste mais je ne voulais pas rester je ne leurs ai pas vraiment laissé le choix. Entendre le nom de Vincent dans l'appel m'aurait énervé plus que tous. Pourtant le lendemain j'ai dû le supporter, puis le jours suivant et le jour d'ensuite.

    Pendant cette période il y a eu quelques accidents. J'ai pu souvent les cacher à mes parents et il n'y voyait que du feu. Il ne se rendait pas compte que chaque semaine un drap disparaissait ou des jouets qui m'appartenaient . Le problème c'est qu'il cherche encore la télécommande de la télé, elle a fondu et ce trouve dans la poubelle maintenant. Je sais pas comment je vais faire pour le cacher encore longtemps.

    Par contre pour les accidents à l'école je n'en avais pas eu jusqu'à ce jours. J'avais mis le feu dans la salle de classe cette fois. Heureusement, seulement dans cette salle. Mais à cause de ça je fût renvoyé du primaire. J'étais étonné que ça ne soit pas arrivé avant vus que les élèves mettaient tout sur mon dos. Les feux des CM2 dans les chiottes, les raquettes, tout cela on disait que c'était moi. On a même taguer les vitres de ma classe avec écrit en gros : « Chatrine Sant est une sorcière ». Tout le monde avait arrêté de penser que je le faisait avec un briquet, tout le monde savaient que ça apparaissait comme par magie. Je n'avais rien fait pendant deux mois, rien dit. Je laisser les choses se faire. C'était devenu comme une routine surement. Ça me faisais toujours un peu mal mais c'était comme si pour moi c'était devenu totalement normal. Jusqu'au jours où mes parents mon demandé de descendre de ma chambre. Je m'étais dirigé d'un pas lent vers le salon.

    Mes parents se trouvaient assit à la table côte à côte et m'indiquèrent la chaise en face d'eux où je devais m’asseoir. Je m’exécutais.

    - Chatrine, nous avons décidé quelque chose d'important. Déclara ma mère d'une voix tremblante.

    Je savais ce qu'il allait suivre mais au fond de moi je ne voulais pas que ça ce produise.

    - Nous allons t'envoyer dans un centre où on va bien s'occuper de toi. Finis mon père.

    - Non...

    - Que dis tu Chatrine ?

    - J'ai dis non !

    - Comme si tu avais le choix ! Cria ma mère d'un ton apeuré.

    Je me mit debout sur ma chaise et taper des mains sur la table.

    - Je n'irais pas !

    Le bois de la table se mit à devenir noir sous mes mains et commençait à sentir le roussis.

    - Je ne suis pas folle, vous n'avez pas le droit de m'envoyer dans un asile ! Je vous dis que je ne suis pas folle !

    Je me mis à pleurer toutes les larmes de mon corps.

    - Je vous ai entendus la dernière fois que vous voulez m'envoyer dans un asile. Ne le cachez pas je le sais très bien. Mais c'est pas ma faute. Je suis pas un monstre ou une criminel !

    - Ce n'est pas à toi de décider. Nous sommes les parents et toi la Fille. Tu dois nous obéir et nous respecter.

    - Je n'irais pas. Vous ne me forcerez pas !

    A ces mots je partis en courant dans ma chambre et m'y enfermais. Je les entendais m'appeler du salon mais je faisais mine de ne pas les entendre.

    Je restais là pendant un long moment, recroquevillé derrière la porte. Comment si mon petit poids plume pouvait les empêcher d'ouvrir la porte. Je les ai entendu pendant longtemps se disputer à mon sujet puis au bout d'une heure ça a été le silence total. Je ne sais pas combien de temps je suis resté comme ça mais longtemps. Le soleil c'était déjà endormit depuis longtemps laissant place à la lumière de la lune.

    Ce soir la je ne suis pas aller manger, je n'avais pas faim et mes parents n'ont pas pris la peine de me forcer la main. Je ne savais pas quoi faire et encore moins comment réagir. J'étais seule, vraiment seule. En réalisant ça je me suis mise à pleurer. Cela faisait longtemps que je n'avais pas pleurer. Même après tout ce que m'on fait les élèves, ce qu'il m'ont fait subir, je n'avais pas versé une seule larme.

    Au bout d'un moment je me suis calmé et je suis aller me mettre dans mon lit et j'ai serré fort mon coussin. Pendant que je faisait ça je me suis rappelé la dernière fois où j'ai vus Vincent, dans ce pays bizarre où des gens comme moi y étaient c'était le seule endroit. « Au moins là bas on ne les force pas à aller dans un asile. » Au bout d'un moment je réalisais ce que je venais de pensais comme quoi là bas je ne serrais pas bizarre.

    Je fis un bond sur moi même et sortis de mon lit en trombe pour me diriger vers mon coffre à jouet qui était maintenant quasiment vide. Au fond de celui ci il y avait une boîte en carton peinte d'un rose pâle, la peinture n'était plus très fraîche et commençait à partir par petit bout. Je sortis la boîte du coffre et l'ouvris. A l’intérieur se trouvait des choses que je ne voulais pas perdre, des cailloux de couleur, des coquillages, des dessins, des perles et surtout il y avait l'enveloppe que m'avait donné Vincent.

    Une fois qu'elle était dans mes mains je ne savais pas quoi faire. Est-ce que je devais vraiment l'ouvrir ? Après un long moment d'hésitation je l'ouvris et un papillon en or en sortit, il volait autour de moi en laissant une traîner d'or dans son sillage. Il était magnifique. J'étais quasiment couverte de cet poudre quand ma mère entra dans ma chambre. Elle venait n’emmener de quoi manger. Quand elle me vus elle fit tomber le plateau et je la vis ce diriger vers moi en courant mais il était déjà trop tard je n'étais plus là. J'étais déjà de retour en Andor.


    Voilà j'espère que cette partie qui s'est longtemps fait attendre vous aura plus. Je pensais que j'arriverai à la finir en une dernière partie mais au final il y aura comme prévu 9 parties pour la nouvelle. Sur ce merci d'avoir lu et n'hésitez pas à poster un commentaire pour me dire ce que vous en pensez !

    Nana

     


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  • PARTIE 9: Le choix

    *Origine (Partie 9 fin)Quand je rouvris les yeux je n'y voyais encore rien mais pourtant ce n'était pas noir comme dans la nuit j'étais plutôt aveuglé. Au bout de quelques secondes la lumière fut et je vis que je fut apparut au milieu d'une table où plein de gens étaient réunit. Je sentis le rouge me venir aux joues car en essayant de me lever j'ai malheureusement fait tomber un verre d'eau sur les jambes d'un homme quasiment chauve. Il poussa un juron et pendant ce temps là je ne faisais que m'excuser. Pour autant il ne voulait plus que je l'approche et il me hurlait dessus.

    "- On ce calme Bertrand !" ordonna une voix féminine, tu vois bien que c'est un accident elle n'a pas voulus que cela ce passe comme ça.

    L'homme poussa à nouveau un juron et se rassit à sa chaise.

    - Que fais-tu ici Chatrine ?

    Je tournais la tête vers ma gauche et vis Victoria assise tout au bout de la table sur un trône en bois tressé et couvert de gravures.

    - Je euh... je vous en pris aidez-moi.

    Face à ma réponse Victoria ne fit aucun mouvements comme si rien ne pouvait l'atteindre. Mais elle me dit tout de même d'approcher et en faisant un geste de la main ordonna à tous ceux présent dans la pièce de partir. Quelques-uns protestèrent, pour autant personne n'osa défié son autorité. Une fois tous le monde partit Victoria me regarda droit dans les yeux puis me déclara :

    - Tu en es sur ?

    Face à cette question mon choix était déjà fait, je n'en pouvais plus de vivre ainsi il fallait que je puisse vivre en contrôlant ça. Et c'est donc la que j'ai prononcé le mot qui bouleversa ma vie pour toujours.


    Donc voilà la nouvelle est terminée ! J'espère que l'histoire vous aura plût et j'espère vous voir pour d'autres ! N'hésitez pas à me laisser un commentaire pour me dire ce que vous en pensez cela me fera très plaisir. :)

    Nana

     


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